Fuyez ...!

P.S. : Je m'excuse de ne pas pouvoir poster sur le forum de l'Aurore Blanche, étant donné qu'il y a une restriction pour les nouveaux comptes crées.

N'allez pas vous tourmenter inutilement, larve Sarsaparilla, ce cher Sage Mage Zage n'a plus toute sa tête.
Sa Sagesse décline, si bien qu'il en vient à voir l'Apocalypse là où ne se cache qu'un simple fait de la nature !
Ignorez ce parchemin, les élucubrations d'un fou n'ont pas à vous intéresser !

MagnumUrgal

Il faut croire que ma noble personne est partout à la fois, "Leena".
Larve Sarsaparilla, je vous souhaite bien du courage : se mettre en quête de ce qui n'existe pas, ca ne m'étonne que peu de votre part !

Mais vous vous trompez en mettant cela en relation avec notre petit différend d'Aperirel dernier quelque chose dont j'ignore. Par mes mots je vous assure que le Consulat des Tempêtes Pourpres ignore tout de cette affaire et vous... prêtera son... aide... si vous la demandez...

Bien curieux tout ça.

L'Apocalypse... la fin du monde... le Cataclysme... Tels étaient les mots de celui qui pensait avoir pour vocation celle de sauver le monde en entrant dans la permanence des Selenytes, en une froide après-midi de Descendre. Les Pourpres avaient réunis onze des douze Crânes, et seul Zage savait comment les arrêter... Car le Consulat des Tempêtes Pourpres, seul, n'aurait libéré qu'un minuscule Milimulou dénué de pouvoirs en réunissant les Crânes Mystiques. Le clan brâkmarien avait en effet été mené par le bout du nez par René Sens, un insaisissable personnage qui ne désirait qu'une chose : la destruction et le chaos pour assouvir sa Folie. C'est ainsi que les Selenytes, avec l'aide de Zage, parvinrent à retrouver la trace d' "un disciple de Sadida traînant derrière lui une forte odeur". Mais il était trop tard. Le destin avait fait son œuvre, et la puissance des douze Crânes rassemblés était sur le point de libérer Le Gralvaron ! Quelle surprise ce fut (et quelle humiliation pour les Pourpres) quand la surpuissante créature n'était autre qu'un misérable petit Milimulou... Mal leur en pris, lorsque René Sens prononça la formule lui permettant de contrôler la créature, et de la soumettre à sa seule volonté, car le Gralvaron changea brusquement de taille. Devant eux se tenait désormais un monstre indestructible (ou presque).



Devant la trahison de René, les Pourpres, déconfits et contrits, restèrent impuissants tandis que le Gralvaron et son Maître venaient semer le chaos en Astrub, pour ensuite aller en Brâkmar et finalement en Bonta. Les aventuriers se rendirent hâtivement dans les Égouts d'Astrub, défiant la créature. C'est à ce moment que Zage, que tous croyaient lâchement disparus, réapparut dans l'optique de permettre aux aventuriers d'affaiblir la créature en répondant à d'étranges énigmes. Zage tua René de ses propres mains, et le terrible Gralvaron rapetissa en un minuscule et adorable familier.



Un magnifique petit milimulou que les Selenytes emmenèrent dans leurs geôles, au grand dam de Zage qui ne pouvait comprendre qu'un monstre aussi dangereux et transpirant le vice puisse être conservé en temps que familier ! Quant aux Pourpres, les aventuriers leur accordèrent pour la majeure partie l'oublie (et non le pardon), trop occupé à s'amuser avec la terrible créature miniaturisée. Mais le Traité reste violé, et les membres du Consulat des Tempêtes Pourpres ne sont plus les bienvenus en Astrub... Pour l'instant.

Je tiens à dire que je n'ai été mêlé ni de loin ni de près à cette mascarade stupide déjà que ce René avec qui j'ai eu la malchance de discuter ne semblait pas vouloir répondre clairement à mes questions et me paraissait pas net...
Je devrais rappeler aussi que tout ce charabia n'est absolument pas représentatif du Consulat et que si quelques "naïfs" ont agis séparément sans prévenir et sans le consentement général, n'allez pas vous dire que c'est "Le Consulat" qui a agis ou décidé... Les conséquences sont cependant indéniables mais après ces mouvements d'émotions "hâtifs", les cervelles du Consulat sauront sûrement montrer la véritable force de notre organisation.