Les Selenytes
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 Mais qui est blue ?

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Kelenbi
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Kelenbi


Nombre de messages : 1361
Selenyte de grade : Mais qui est blue ? Mguide
Promu au titre : Ancien Selenyte
Date d'inscription : 28/09/2008

En Amakna
Identité: Kelenbi
Disciple de: Ecaflip
Cercle et oméga: 200

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MessageSujet: Mais qui est blue ?   Mais qui est blue ? Icon_minitime4/4/2010, 16:36

"Je vois que beaucoup de monde est venu, ami, clan, vieux amis, nouveaux amis, un peu de ma guilde aussi... En tout cas je suis content de vous trouver. Je vais vous compter mon histoire. TOUTE mon histoire depuis le début, et j'espère que certains seront tenté de faire la même chose...Je m'excuse de n'avoir pas fait ma candidature en expliquant tout les vrai détails, mais je ne pouvais pas tout vous dire sur moi, surtout que je vais raconter ce qu'il s'est passé ensuite. Bon je commence mon récit."

Tout commença le 28 juinssidor 566. Un beau jour de soleil, les enfants revenait heureux des court de leur maitre. C'était les vacances, pour ceux qui en avait. En effet, regardons un peu le monde du haut des petites montagne de l'exploitation minière d'Astrub. Si vous regardez vert l'ouest, vous verrez un petit osamodas naitre. Ses parents, de pauvres paysans, regardait le nouveau né avec un regard attendrissant. Ils avaient beau être pauvre, mais avoir un enfant les rendait riche... de sentiments.
-Il deviendra un grand homme, dit son père, du moins j'espère qu'il ne finira pas comme nous, aussi pauvre.
-Mais enfin, répondit la mère faiblement, du sais que l'argent n'est rien...
Cet Osamodas, c'était moi.
[...]

-S'il vous plait monsieur, une petite réduction pour ce marteau bouftou !! S'il vous plait !! j'en ai besoin...
Je trépignais tout le temps, espérant un rabais pour tout objet acheté...
Ma bourse ne dépassant jamais les 9.000k, j'avais du mal a trouvé des objets.
Il faut croire que mes parents avaient raison, je finirais comme eux... Tel était mon destin. Sauf qu'un jour, alors que j'aidais Mange Paca, j'entendis un cri d'appel.

"AU SECOURS !! AU SECOURS !! A L'AIDE !!"
Je courus en direction des cri, et je vis un jeune disciple sadida se faire poursuivre par deux sanglier hargneux. Je me lança dans la bataille, et envoya un bouftou pour les ralentir puis quelque tofu. Je me retourna vers le disciple sadida.
"Ça va ? demandais-je
-
Bwoarf,
plus de peur que de mal, j'arrivais à les distancer mais je peux pas courir sans arrêts. Merci de m'avoir aidé."
Il se redressa et épousseta un peu ses vêtements.
"Je m'appelle Kingaf et toi ?
-Je ne sais pas personne m'appelle, tout le monde me déteste. Quand on me voit, on fuit pour aller ailleurs que là où je suis en criant
"OOSSAAMODAS !!!!"
répondis-je
-Alors je vais faire comme eux, je vais t'appeler oossaamodas !"
Il y eut un silence puis tout d'un coup on devint mort de rire.
"J'veux bien mais que si tu le fais pas en fuyant et en hurlant ! prévins-je
-Mais en fait, pourquoi te déteste-t-on ? M'interrogea t-il
-Parce que mes parents étaient pauvre, que moi je suis pauvre, que je suis tout seul et que j'entraine la malchance autour de moi..."
Je poussa un soupir, On se mit à raconter un peu notre vie. Kingaf était un peu plus vieux que moi, mais moins expérimenté. Il passait ses journées autour d'Astrub à rêvasser et quand quelque petits monstres s'y trouvait, il les attaquait. Il était né dans une riche maison d'Amakna, mais ses parents son mort, tué par des dizaines de bandits expérimentés. On tua quelque monstres pour faire plus ample connaissance. C'était la première personne après mes parents, mort 10H après ma naissance, qui m'apprécia. J'étais heureux.
7H56 du matin. Kingaf dormait encore, et moi j'étais parti m'entrainer assez tôt. Je m'entrainais dans les champs : c'était simple mais ça suffisait à expérimenté mes techniques. Quand tout un coup, une trentaine de gros bouftou énervé se retourna contre moi, ils en avaient mare de se faire dépecer. Ils approchèrent assez vite, je n'eus pas le temps d'invoquer, et ils se mirent à me dévorer. Je mourus, dévoré par des bouftous...

"Bonjour à toi ! me dit une voix étrange.
-Euh... Salut, j'suis où là ?
-Tu es à un endroit que beaucoup de mortel appelle "paradis"
Je levai les yeux, tout était blanc, et devant moi se tenait... Nan c'était pas lui... Pas possible. C'était le dieu Osamodas !
"Et oui c'est moi.
-En plus vous lisez dans les pensé ?
-Je peux tout faire, sauf créer un craqueleur trop lourd pour que je le porte.
-Mais vous m'avez déjà ressuscité plein de fois... Pourquoi pas maintenant ?
-Regarde..."
Il me montra un tas de viande coupé en petit morceau.
"Comment veux-tu que je ressuscite ça ?"
Je poussa un long soupir. Ça y est, ma vie était fini, alors que je venais enfin de trouver un ami.
"Mais, continua -il, je peux te réincarner dans un corps vide.
-Mais alors, ce ne sera plus un corps vide...
-On s'en fiche"
Il s'approcha de moi, me posa la main sur la tête, et je fis une longue chute...
"Woops, j'ai failli le laissé tomber" dit une disciple eniripsa
Tiens...
J'étais re-né. En effet ça devait être une réincarnation. Je pris le temps de décrire ce qu'il y avait autour de moi : j'étais dans une grande salle toute blanche, trois eniripsa étaient là pour mon bien être et celui de ma mère. Ma mère, trempé de sueur, avait l'air d'être un disciple du dieu feca. J'aurais quelque dizaine d'année de plus, je l'aurais aimé, elle était splendide, même toute épuisé. Mon père, qui se tenait dans un coin de la pièce pour laisser les disciple eniripsa faire leur travail, était lui un disciple iop. A son aura de puissance, je dirait que c'est déjà une légende. Une fois que les 3 disciples eniripsa ai fini leur travail, mon père s'approcha. Il était grand, avait une épée accroché dans le dos, qu'on avait sans doute essayé d'enlever pour aller dans ces lieu, et avait un air sérieux.

"Satané boufton ! Qu'il est beau notre fils à nous! s'exclama mon père.
-Tu as complètement raison, ce sera un grand homme..., rajouta ma mère, Aussi puissant que son père et aussi beau que sa mère.
-Et un peu plus modeste que toi, ricana mon père.
Ils partirent dans une grande rigolade... A priori, c'était l'inverse de mon ancienne vie : des parents riche : ils arrivent à embaucher 3 maitre eniripsa ; Parents qui s'entendent bien : ils sont en train de rire à plein poumon ; parents puissants : mon père en tout cas, son épée me faisait presque peur, heureusement que c'est mon père et pas mon ennemi. Moi ? j'étais encore un disciple osamodas,comme le souhaiterait celui qui m'a réincarné... Mes parents avaient décidé de m'appelé Ax.. Va savoir pourquoi. Et Kingaf, est ce que je le retrouverais ?
Une nuit, le Dieu Osamodas venu discuté avec moi... En rêve bien sûr, c'était le seul monde des êtres vivant où on pouvait croiser des dieux... Il était venu avec ses trois dragons.

"Oui, ils s'ennuient quand ils sont seul, me dit-il en voyant mon regard inquisiteur, je présume que tu les connais.
-Bien sûr, on m'a rabâché les oreilles de la création du monde des douzes... Mais pourquoi êtes-vous venu ? continuais-je.
-Ah ! Parce ce qu'il faut qu'on parle de certains points sur ta réincarnation...
-Je vous écoute !
-Bon, il y a certaines conditions pour ce type de réincarnation, dit-il, Tout d'abord, tu as vu que tu étais encore disciple de Ma personne propre et modeste, c'est pour que je garde un lien avec toi pour te surveiller... Pourquoi ? Et bien on en vient au deuxième point qui est que tu ne dois rien dire.
-Arreuhh agaga ! intervins-je
Oui depuis tout à l'heure c'est comme ça que je m'exprimais mais le dieu Osamodas pouvant lire dans les pensées, savait ce que je voulais dire.
-J'espère bien que tu jures de respecter ces règles. Bon j'y vais, j'ai d'autre chacha à fouetter.
Je le regardais s'éloigner pendant qu'il volait avec ses petits dragon qui se battaient encore sauf... Enfin vous connaissez l'histoire. Je me rendormis espérant que demain serait un jours meilleurs... Je pensa soudainement à Kingaf... Qu'était-il devenu ? Se souviendra t-il de moi ? Comment savoir...
-Debout, lève toi !! L'aventure appartient à ceux qui se lève tôt !
C'était ma mère... Oui, j'ai maintenant 12 ans. Rien c'est passé entre les deux d'intéressant alors je vous passe cette période longue et embêtante durant laquelle j'aidais ma mère à faire la cuisine, et racontais mes exploits de cuisine à mon père...
-Allez ! Debout ! C'est aujourd'hui le grand jour ! Continua t-elle.
Je me levai d'un bond et pris mon épée en bois.
-Stop !
C'était mon père qui venait d'entrer dans la pièce. Il avait une petite épée de fer avec un jolie manche en frêne dans sa main gauche. Il me la tendit avec un grand sourire.
-Tu tueras plus de bouftou avec ça. C'est une épée de boisaille toute neuve, prends en bien soin.
Et c'est ainsi que le rituel matinal se brisa. Tout les matins, je me levais, j'envoyais un tofu à la recherche de kingaf sans espoir, et je rejoignais ma mère qui m'attendait louche à la main dans la cuisine. Au moins on pourra pas dire que je sais pas cuisinier. Donc, disais-je, mon rituel matinal changea. J'envoyai un tofu à la recherche de kingaf, et je sortis de la maison. Ce que je ne faisais que le "oui, Kend !!".
Quelque amis m'attendais là. Eux aussi partait pour la première fois à l'aventure. Mon père serait notre moniteur de chasse. Il avait obtenu un jour de congé au près d'Oto Mustam car en effet, c'est là bas qu'il travaillait.
Nous fîmes des équipes de deux. On était 8. Le but était simple : on devait partir dans les champs, et vaincre un bouftou, un pissenlit, un tofu, une larve et une rose et rapporté une preuve pour chaque victoire. Nous partîmes à 5 minutes d'intervalles. Première étape : trouver les champs. Vu que je ne faisais que de regarder des cartes toute la nuit, ce ne fut pas trop un problème, et mon équipe arriva assez vite aux champs. Meldorn, mon coéquipier, était un disciple iop qui lui, passait son temps à s'entrainer sur les araknes et les pious d'Astrub donc forcement, il était BEAUCOUP plus fort que moi.

"Quand est ce qu'on tape ? demanda t-il.
-Bientôt, ça sera l'affaire de quelque secondes et... Ah voilà, c'est les champs... A L'ASSAUT !!!
Nous partîmes nous battre contre les créatures qu'il fallait. Ayant un père très riche, j'avais des équipements incroyable pour cette première sortie. Par exemple, quand ma mère a tourné le dos, il m'a donné un marteau bouftou. J'avais aussi une mitaines mitée du paysan, une gelamu, une coiffe pandawa, deux anneau de la satisfaction... La panoplie du parfait invocateur débutant quoi... Arrivé devant nos premiers monstres, j'eus sous l'effet de peur, l'envie d'invoquer, beaucoup invoquer, et par erreur, j'invoquai un prespic. Je sortis mon fouet pour le ramener de la où il venait plutot qu'il encombre le champ de bataille. Ce qui ne plus pas au 2 bouftous et 3 tofus que j'avais invoqué. Encore les 5 tout seul ça irait, mais il y avait les monstres autour.
Et c'est ainsi que Meldorn et moi, nous mourûmes, bouffé par des bouftous.

"C'est pas possible, tu les collectionnes !
-Excusez moi mais si vous ne vouliez pas que je meurs, il fallait m'envoyer un signe divin. Je sais pas, une baffe céleste par exemple.
-Bon je te donne une dernière chance et... Oh ! je viens de trouver un corps parfait pour toi, plus un disciple de moi même cette fois.
-A bon ?" demandais-je alors qu'il s'approchait de moi.
Le Dieu Osamodas me posa sa main sur la tête, et a ma grande surprise je ne fit pas de chute.
"Ohhh ! Comme il est mignon ! dit soudain un disciple sacrieur, Il est aussi beau que sa mère.
-Ce sera un grand homme ! Enfin, un grand Ecaflip !
Qu'avais-je entendu ? Je regarda mes mains, en effet, j'étais un Disciple ecaflip de naissance. Ça promet de grande chose. Mon père, un sacrieur qui n'a pas l'air très puissant par rapport à mon ancien père. Il avait posé sa coiffe du bouftou sur le porte manteau. En effet, ça change du père cercle 180. Ma mère, belle disciple fecatte, yeux bleu, cheveux noir, joli visage. Alors c'était ça ma nouvelle famille ? J'en saurais plus plus tard surement, la c'est que le premier coup d'œil. C'est alors que je pris le temps d'analyser les lieux. On était ni dans un hôpital, ni dans le temple eniripsa, ni dans une demeure où un eniripsa oserait mettre les pieds. On était dans une pièce sombre, mais éclairé par des vingtaine de torche au mur. Il y avait 3 portes dans cette pièce. L'une amenait à une chambre, l'autre à une cuisine et la troisième était toujours fermé à clef et mon père m'avait interdit d'y aller. J'avais 6 ans, puis dix puis douze... Je vivais seul dans la maison.
Mes parents avait été tué par des roublards, seul mon père à survécut mais j'ai reçut une lettre comme quoi il resterait caché à tout jamais. Je respectais son choix, et m'envolai vers Astrub, pour y vivre une vit tranquille d'orphelin. Orphelin, certaines personnes pourraient avoir de la pitié pour moi mais ce fût une vie tranquille.
Bon, je ne roulait pas sur l'or. Du moins, pas à mes débuts. Ma solitude m'offrait un avantage : étant toujours en train de me battre, mes cercles de puissance montaient rapidement, au cercle 60, je voulus me rendre utile. Je fis le tour des boutiques d'astrub, je pris un bandeau noir et une cape noir discrètement volée.
Je vivrais la nuit. Je vivais à empêcher les bandits de voler divers objets sans aucune grande valeur aux paysans. Puis un jours, je suis allé vers le nord, vers tainéla (le berceau) pour combattre bouftou et chef. Des fois, je trouvais des aventuriers et, ensemble, on allait tuer leur roi. Un jour, en sortant du donjon, je partis tuer quelques bouftous quand j'entendis une voix.

"C'est du joli ça, dit une voix dans l'ombre.
-Qui est là ? interrogeais-je, Zulie lame à la main.
-Range ton épée petit, continua t-il, tu fais peur..."
Je rangeai mon épée dans son fourreau qui est lui-même dans mon dos quand l'homme sortit de l'ombre. C'était un disciple écaflip, ressemblent à un milimulou gris par son équipement. Il avait le poil noir et des affaires rouge sang. Il était donc équipé d'une panoplie du meulou, une griffe rose, un gelano (oui je sais j'ai une bonne vue) et avait vraiment un air colossal. Il portait un regard bienveillant sur moi. Mais... ce regard je l'avait déjà vu. Je ne me souviens plus où... tant pis je m'en souviendrais sans doutes plus tard.
Cet ecaflip, qui ne voulait pas me dire son nom, m'expliqua pourquoi il m'avait interpeler. Il m'avait regarder me battre et trouvait que je me battait comme... Un novice. Je protestais, je dit que j'étais assez fort, j'étais cercle 65. Il appela un ami, il me le présenta rapidement. Un petit disciple cra qui devait être de cercle 50 maximum. Un petit défi commença. Je pris mon épée je couru vers lui, il m'arrêta d'une flèche immobilisante, j'avançais avec bond du felin, il me tua de 7 flèche dans le bide, et je n'avais pas eu le temps de le toucher.

"Bon d'accord, j'suis pas doué, et alors ?
-Et alors j'aime pas les ecaflips pas doué, dit-il, ça déshonore notre classe. Laisse moi devenir ton maitre et je vais arranger ça.
-D'accord... Maitre.


Tout les jours, réveillé première heure par un cadran que mon maitre m'avait offert. Je me levais, je m'echauffais, je me préparais, et je faisais une course pour arriver à l'endroit où m'attendait mon maitre. L'endroit où il se trouvait m'était indiqué par une courte énigme que je recevait pendant mon échauffement. Cette fois je fus surpris, il y avait écris "Statue ecaflip, prépare toi à être heureux".
Je courus donc vers la statue ecaflip. Mon maitre n'y était pas, mais un ecaflip noir habillé de blanc avait l'air d'attendre quelqu'un. Je m'approchais, c'est sans doutes lui que je devais voir, et à environ 5 mètres, je reconnu son aura.

"Kingaf ?" demandais-je timidement
Il se tourna tout de suite vers moi.
Ce fût des retrouvailles longues et marantes. Il était désormais Shance, né d'un père ecaflip, mais il ne m'a rien dit sur sa mère. Kingaf avait été tué par quelqu'un qui avait malencontreusement poussé un sanglier sur lui alors qu'il dormait.

"J'suis content de te revoir mais... commença t-il, C'est ton maitre qui m'a retrouvé, et m'a demandé de t'entrainer un peu car il était malade."
Mon maitre ? malade ? Impossible... Mais bon, quelque combat commença. J'étais cercle 80 et lui 112. Assez dur mais il ni allait pas de toute ses forces. Pour me simplifier la tache, il jouait tout le temps de la même façon, se qui fait qu'au bout d'une quinzaine de combat, je réussis à connaitre sa technique par cœur et avec quelque griffe joueuse, chaton, griffe de ceangal, je réussis à l'achever.
"Ba voilà, tu voix que tu peux y arriver"
Je m'allongeai pour respirer un peu, il s'installa près de moi.
"Alors, qu'est ce qu'il y a à faire ensuite ? demandais-je
-Mmmmhhh je sais pas, ça ressemble à un brouillon ces lignes, me répondit-il en essayant de lire un bout de papier. Bon ba tant pis, allons boire un coup à la taverne !
De bonne retrouvailles à la taverne, il y a que ça de mieux. Arrivé à la taverne à quelques pas, nous entrâmes , commandâmes une table, et 4 bières. On se racontait notre vie pendant notre séparation, buvait langoureusement nos bières, on a joué aux cartes aussi... Bref, c'était marrant, sauf que, dans un coin de la salle, un homme habillé de noir m'épiait. A la fin, j'essayais de le rattraper dehors, après que nous nous soyons quitté, mais impossible, il filait dans la foule, tel un tofu cherchant des vers.
Le lendemain, c'était mon jour de repos. Je profitais de ces jours pour me balader, m'entrainer, et surveiller les bandits du coin. Soudain, je vis un homme. Il était grand, habillé d'une couleur marron clair, mais surtout, ce qui attira mon attention, de fut sa paire d'ailes en bois gigantesque. je retenu son nom qu'on pouvait voir sur sa veste, le nota sur mon bloc note, puis je retournai chez moi, enfin dans la caverne en fin de soirée. La soirée. Le moment de liberté que je m'offrait tout les jours de repos. Il surveillait toute les maisons.
J'entendis un bruit suspect. Des pas. Je m'approchais des lieux, et je vis 4 bandits s'approchant d'une maison, je vis aussi un paysan, un disciple sacrieur, près de la fenêtre. Cette personne ressemblais à son père. Nan, je devais rêver. Je n'attendis pas trop, je fonçai, m'interposai entre les bandits et la maison.

"Hey toi le bleu, bouge de notre chemin ou tu goutteras la colère des bandits fine-lame ! cria le premier qui sembla être leur chef.
-Vraiment ? répondis-je calmement, Alors venez, on verra.
-TU VAS GOUTER A LA FUREUR DE DELEÏSH !!"
Je pris mon épée, découpai allègrement la tête du premier puis, sortant un jeu de carte, mitraillai mes ennemis restants.
Sur les quatre bandits, il n’en restait qu’un. Le chef. Il m'assena un coup d'épée à la tête. Du moins, c'est ce qu'il voulait faire, car l'épée tapa par terre dans un bruit sourd.
En fait, il tomba par terre avec son épée... et un trou dans la tête. Puis je disparus...
J'étais en retard pour dormir, je comptais beaucoup sur mes heures de sommeil, il fallait que je sois en forme pour le prochain jour d'entrainement.
Lendemain, première heure, il reçu un tofu dans la tronche. Le message : "grande maison nord astrub". Hmpf, particulièrement facile. Je me levai, m'échauffai, fis ma toilette, et sautai de toit en toit à la recherche d'une maison plus importante avec un ecaflip majestueux devant.
Je le trouvai enfin. Je sautai du toit et atterris devant lui.

"Tu as du retard ! Comment ça se fait ? m'interrogea t-il.
-J'ai tardé la nuit dernière. répondis-je simplement.
-Mmmhhh. Ça ira cette fois mais évite de faire ça tout les jours. L'avenir appartient...
-...à ceux qui se lève tôt. Maitre, j'avais une question à vous poser.
-Je t'écoute.
-Hier, je me promenais non loin d'ici, et j'ai vu un type étrange avec des ailes en bois.
-Ça tombe bien, c'est la leçon d'aujourd'hui."
Il me montra la maison qui était derrière lui.
"Aujourd'hui, tu vas découvrir un clan nouveau. Je t'avais déjà présenté le mien, l'Aurore Blanche, le clan "ennemi" au mien, les Tempêtes pourpres, maintenant tu vas découvrir les Selenytes."
Il me tendit un bloc-note, une belle plume et me dit :
"J'veux un rapport complet, enfin te tues pas trop à la tache. Bonne chance"
Sans prévenir, il partit sans bruit.
J'inspirai un grand coup, poussai la porte, et entrai dans la pièce. Il y avait un tapis au fond, une échelle qui descendait dans un coin, un escalier qui monte juste au dessus, divers tonneau éparpillé, un bar avec un poêle derrière, et un recoin. l'homme que j'avais vu était sur le tapis, un osamodas se tenait près de l'escalier, vêtu de rouge, un ecaflip blanc devant un cage avec un oiseau empaillé. Dans le recoin, il y avait de la place. Je m'y installai, en disant un bonjour poli à la salle, qui s'était tu à mon entré. Ils me répondirent tous, et je pu constater que le disciple Osamodas était un membre des Tempêtes Pourpres par sa réponse "Malsoir".

[...]
"Pfiou quelle journée épuisante !"
C'était le soir, j'étais devant mon maitre.
"Et bien, jeune ecaflip courageux, je me trompe à ton sujet ? Observer des personnes est une occupation trop épuisante ?
-Non en faite c'est ce que j'ai fais pendant ce temps."
Je lui tendis mon rapport, et alla tout de suite dormir. Sur le rapport il pouvait lire :
rapport d'observation des Selenytes a écrit:

Rapport d'observation du clan des Selenytes, 14 Fraouctor 638.
Cette pièce n'est ni petite, mais elle n'est pas grande comme la salle du trône d'Allister quand même. Des personnes du clan bontarien et brakmarien sont dans cette pièce, mais ne se battent pas. Plusieurs personnes passait, se reposait, discutait, d'autre repartait, puis revenait, bref, il y avait un véritable mouvement dans cette salle, un peu comme une taverne.
A un moment, un homme arriva, s'approcha du Selenyte et lui demanda comment rejoindre son clan. A ce moment je tendis l'oreille pour bien entendre. L'homme lui répondit simplement qu'il fallait s'inscrire sur leur Faux-Rhum, le livre du clan, puis y écrire sa candidature après avoir lu les conditions de recrutement. L'homme demanda où se trouvait ce livre et le Selenyte lui donne l'adresse sur Un Terre Net, le monde étrange.
Les membres de ce clan sont des mercenaires, ils se font payer pour divers aide : accompagnement en donjon, entrainement, perfectionnement, récolte, agression et d'autre qui peuvent être mit en place. Dans la pièce un peu plus tard, il restait l'Osamodas en bas des escalier, le Selenyte et l'ecaflip en blanc devant la cage à l'oiseau empaillé.
Le Selenyte semblait troublé, et les deux autres dormait. Je m'approchai pour connaitre son trouble, même pas sur mes gardes car le combat était interdit dans cette pièce. Enfin si un peu sur mes gardes quand même.
Il m'expliqua qu'il n'avait pas fait son offrande au dieu A Beau Nez, et devait passer un message à ses collègues, et qu'il ne pouvait pas utiliser la voie de Fallanster, une voie réservé au clan, mais approprié par le dieu A Beau Nez. Je proposai mon aide, serviable comme je suis. Il griffonna sur deux bout de papier. Le premier il le scella magiquement pour que seul un Selenyte puisse le lire et le deuxième il m'écrivit tout les endroit où je devais aller.
Je lui fit un signe je repartit vers la première direction, le plus proche, la taverne d'Astrub. Normalement ils étaient au fond de la taverne, dans une alcove privée. Je m'enfonça au fond de la Taverne et frappa deux coups à la porte. On m'autorisa d'entrer. Je m'excusai de les interrompre (ils étaient trois) Et leur donna le morceau de papier scellé. Il le lut rapidement, le re-scella, et me le rendit en me souhaitant bon voyage. je sortit en tiltant sur ses derniers mots. "Bon voyage" ? Je lus la liste des destinations. Il y en avait 6, tous écarté plus loin les unes que les autres. J'avais ni potion de rappel, ni kamas, je devrais faire tout ces trajets en courant.
La montagne des koalaks, deuxième destination, avec les coordonnées d'une maison. Je courus à travers la montagne des craqueleurs. Je crus voir le légendaire, mais j'ai pas pris le temps de m'arrêter. J'étais pressé. J'arrivai devant la maison, je toquai à la porte. On m'ouvrit la porte. Une Selenyte se tenait devant moi. Je m'excusai et lui donnai le morceau de papier. Elle le lu, le re-scella et me le rendit. Ils y avait deux autres personnes dans la pièce. Une autre Selenyte et un non-Selenyte. Surement un futur Selenyte, qui sait ?
Je repartis donc vers ma prochaine destination, Bonta. Un longue course, mais pourquoi pas, ça m'échauffera un peu. Je courus donc à travers les plaines, croisant blops et craqueleurs, aventuriers et bandits, zaap et dragodinde... Arriva la grande muraille de Bonta. Je ne savais où j'étais et j'avais oublié ma carte, alors je décidai d'escalader le mur. assez difficile, mais épuisant. Surtout quand on se rend compte que la porte est à 100 mètres.
Je lus le parchemin. "Quartier Générale de l'Aurore Blanche". Dans tout les endroits de cette ville, c'est tombé sur le seul que je connaissait. Je m'y rendis donc, me souvenant des personne que j'avais croisé, les importants, les moins importants, mon maitre... J'ouvris la porte. Deux Selenytes discutait avec un homme assez important, ayant un garde à ses cotés. Mais ça c'était rien. Les ailes du premier Selenyte était immense. Peut être pas aussi grand qu'un orne mais au moins comme un châtaigner. Des épées étaient accrochées, de splendide morceau de bois net séparaient les grands morceaux de tissu.
C'était magnifique. Je m'approchai, m'excusai rapidement d'interrompre, puis donnai timidement le morceau de papier. L'homme me le prit avec un grand sourire.
Il le lut, son sourire s'affaissa assez vite. Je l'avait remarqué, les autres Selenytes n'étaient pas heureux de cette nouvelle quoi qu'elle soit. Il chuchota dans l'oreille du deuxième Selenyte, qui lui aussi fit une tête étrange, puis Scella le parchemin et me le rendit.
L'homme à l'atelier des forgeron de Brakmar avait un sourire rayonnant, qui restait même un peu après avoir lu le parchemin. C'était un grand ecaflip majestueux. (je cite pas de nom mais vous avez sans doute reconnu ^^') Sufokia, la presqu'ile des dragoeufs, et l'ile des wabbits fut enchainé assez vite, j'essayais d'accélérer ma vitesse avec mes ailes de défenseur bontarien. Une fois finis, je suis retourné à la maison appelé la perm'. Je rendis le parchemin avec les réponses, l'homme fit une triste tête, puis monta l'escalier et je ne l'entendis plus. Maintenant, si vous voulez me trouver, je suis chez moi, avec un parchemin entre les mains, un livre devant moi.

En effet, en cet Octolliard 638, je me rendis à la maison des Selenytes, et accrocha un petit parchemin dans le livre du clan, à la partie recrutement.
J'étais heureux de le faire. Passé une matinée près d'un Selenyte et l'après midi à lui rendre service m'avait ouvert les yeux. Ce que je n'avais pas mis dans mon rapport, c'est qu'il m'avait offert une récompense. Rien d'important c'est sur, mais c'est quand même 10.000k. Pendant toute la mâtiné j'avais vu d'autre Selenyte circuler et je m'étais rendu compte qu'il s'entendait bien, qu'il y avait de la convivialité même dans chaque coup de fouet. Aussi, ils servaient une bonne cause. Le mercenariat, aider les autres contre quelques kamas. C'est beau.
Dans la pièce, je vis un jeune disciple feca, troublé. Je m'approchai de lui.

"Qu'est ce qu'il y a ? Ça va pas ? l'interrogeais-je.
-Non.
-Pourquoi donc ? Je peux t'aider ?
-Ça m'étonnerai beaucoup que tu puisses !" s'exclama t-il.
J'appris qu'il était touché par une malédiction. Rien de grave à la première écoute, mais en fait si très. Chaque pleine lune, il se transformait en Vampyr buveur de sang, mais ne se souvenait plus de ce qu'il faisait. Troublé, je partis dans mon grenier pour voir si je n'avais pas de solution à lui donner, j'ai tellement de livre là dedans. "Comment tuer un bouftou enragé" non, "la mille et une leçon du forgeur d'épée" non plus", "malédiction et autre" voilà. A la première vu, ça m'avait encouragé. Mais après avoir lu plusieurs page, 1/ C'était des malédiction mineur comme "malédiction du bras droit" (ouais désolé le plagiat mais c'était trop tentent) et 2/ il y avait pas de remède? Seulement comment appliqué la malédiction. Je continuais ma recherche quand je tombai sur un ouvrage plus qu'intéressant. "Les arts de la magie mineur pour débutant". J'ouvris quelques pages au hasard, impressionnant. "guérison des petites blessures", "torche magique", "amélioration sac sans fond", "flèche magique"... Plein de petit sort sympa. Je me résolus de n'en parler à personne, et de l'étudier demain, à tête reposer. Mais là, c'était la nuit, et je sortis.
Le lendemain, je fus réveillé par un tofu qui me sautait dessus. C'était mon jours de congé pourtant. Je le lus rapidement. Le message disait en gros qu'on avait répondu à ma lettre de postulation. Je me levai, me préparai tranquillement, puis allai à la maison pour voir cette réponse. Mmmhhh c'était négatif, j'avais fait plusieurs erreurs grave, j'étais recalé. Bon, soit. Après tout j'allais pas me plaindre, mais je pris en note les remarques. je retournai quand même chez moi, puis ressortis le vieux livre de magie du grenier. Il y avait quelque petit sort sympathique. Mais je tombai sur un sort étrange. Étrange mais je ne savais si ça serait bien que j'approfondisse le sujet. Après tout, pourquoi n'aurais-je pas quelques bases de magie. Mais là : "révélation des pensés" c'était un peu fort. Ça serait violer la partie privée de quelqu'un. Si je m'en servais pas pour tout, je serais tranquille.
Mouais pourquoi pas.
Premier sort pour débuter : "création d'une sphère de lumière" Pas très utile mais pour fonder les bases. pendant trois mois je restais chez moi, allant aux cours de mon maitre de temps en temps. Enfin à chaque fois qu'il m'y obligeait quoi. Puis, fin Javian, après avoir passé de joyeuse fêtes avec ses amis, je me remit au boulot. La révélation des pensées n'était pas prêt d'être à porte de main. Mais j'étais courageux, je le ferais ! Il me faudra du temps. Lendemain, jour d'entrainement. Je n'étais pas en retard cette fois ci, mais quand je vus ce qui m'attendait, je regrettai d'être en vie. On allait, mon maitre et moi, affronter le puissant maitre corbac. Ça me fit froid dans le dos. Mais j'étais heureux d'un coté, j'allais enfin pouvoir connaitre le cercle de mon maitre. Nous entrâmes dans cette bibliothèque, et, à notre grande surprise, le maitre corbac était juste devant l'entré. Il nous regardait, ses trois acolytes autour de lui.

"On attaque ? demandais-je impatient.
-Minute moskito, regardons d'abord comment il se comporte."
Le combat fut un massacre. Il fit une carapace avec ses ailes ce qui nous empêcha de le taper. On en profita pour tuer ses trois acolytes. Lames, cartes, dés volaient dans tout les sens. Un coup de pied par ici, un coup de poing par là... Puis, j'observai mon maitre en me concentrant sur son cercle. Je ne le repérais pas facilement, mais ce fut au moins 190. 190, impressionnant, mais bon, il y avait encore un monstre devant nous. Nous l'attaquâmes en force, en restant loin. A priori, il tuait en trois coup. A la fin on se retrouva dans les plaines de Cania pour discuter de nos exploits.
"On a surtout eu de la chance qu'il soit là dès le début. J'ai déjà passé une heure à le trouver." m'informa mon maitre.
Fin de la journée. Enfin pas pour moi, je me dirigeais vers la maison des Selenytes. Il avait un espoir nouveau, il allait refaire son parchemin, en suivant les conseils qui lui avait été donné. Il prit plume, raya, effaça, réécrivit, représenta, à la fin, son parchemin ressemblait à ça :

Citation :

Blue-tueur...
Surnommé par diverses personnes : le pourfendeur, le chasseur de tête, le "pas déranger"...
Revenons quelques années en arrière.


Noble
paysan, vivant de lui-même, Kelenbi vivait paisiblement dans la contrée
d'Astrub. C'était un noble villageois de sang sacrieur mais il n'aimait
pas se battre.
Il portait un pagne noir, rapiécé et un bonnet bleu. Il avait une démarche assuré, mais craignait tout.
Sa maison était à la frontière de la forêt et des champs d'astrub. Petite maison, on pourrait la croire abandonnée.
Il
était très réputé pour laver des boufbottes. Il vivait heureux, mais il
se sentait seul par moment. Inconnu de tout le monde, il gardait dans
son grenier un terrible secret : Le Puissant Dofawa!
De nombreux
bandits ont essayés de le voler mais ils sont tous morts dans des
circonstances mystérieuses et Kelenbi rejetait toutes accusations. Il
décida, alors, de provoquer une attaque de bandit pour tout
comprendre... La seule chose de sa vie qu'il n'aurait pas du faire.

La
nuit, les minutes ainsi que les heures passèrent quand enfin, il vit
les bandits arriver près de sa misérable maison. Ils venaient de la
forêt.
Ils étaient quatre : le premier portait une longue épée et un
costume sombre, les trois autres étaient habillés en noir, avec une
paire de dagues.
Tout ce qui arriva dans les minutes à venir, passa
très vite. Du bleu surgit, le temps ralentit, les secondes s'écoulaient
comme des minutes. Les bandits sortirent leurs épées, prient au
dépourvu, un écaflip apparut en plein milieu de leur groupe.

pour la sensibilité des plus jeunes, merci de les écarté du parchemin

L'écaflip prit son épée, découpa allègrement la tête du premier puis, sortant un jeu de carte, mitrailla ses ennemis restants.
Sur
les quatre bandits, il n’en restait qu’un. Celui là, présumé être le
chef, lui assena un coup d'épée à la tête. Du moins, c'est ce qu'il
voulait faire, car l'épée tapa par terre dans un bruit sourd.
En fait, il tomba par terre avec son épée... et un trou dans la tête. Puis l'écaflip disparu...
Kelenbi n'en revenait pas : il venait de voir blue-tueur, le défenseur des pauvres et des opprimés.


De nombreuses légendes couraient sur blue-tueur, mais personne ne l'avait jamais vu.
Kelenbi était le premier... Mais détachons nous de ce paysan... attachons nous plutôt à blue-tueur!

23H12, cachette secrète d'Astrub, blue-tueur cercle de puissance 74.
Il posa son épée dans un bac d'eau, s'assit sur une chaise, le regard flamboyant sur la patte que le bandit avait osé écorcher.
Personne
jusqu'à aujourd’hui n’avait eu le temps de lever la main sur lui...
Serait-il dépassé ? Dans tout les cas, il avait besoin d'entrainement...
Blue-tueur était un écaflip à l'étrange fourrure bleu, il portait un pantalon rose/violet et un débardeur vert foncé.
Sa cachette était sombre, pleine de toile d'araignée. Il ne faisait jamais le ménage car il était rarement là.
Les jours passèrent… alors que le jour ce n’était qu’un anonyme amaknéen comme les autres,
la
nuit il devenait blue-tueur, le justicier. Il avait connu les petits
bandits de pacotille, les paysans démunis mais maintenant il se décida
de jouer avec les grands.

3 mois plus tard, 10H52, place marchande de Bonta, blue-tueur cercle de puissance 83.
Blue-tueur visitait les nouvelles contrées inconnues, de nouveaux villages, nouvelles villes, nouveaux marchands.
Bonta,
la grande, très grande ville où vendeurs et acheteurs se pressent par
milliers. Les maisons étaient faites de briques blanches et de toit en
bois de chênes.
Il y en avait des millions alignées, souvent
identique. Bonta était une bien grande ville comparée à Astrub.
Blue-tueur en avait bien conscience. C'est d'ailleurs pour cela qu'il
était venu ici.
Cherchant un meilleur équipement, il abandonna la
panoplie du justicier qu'il s'était auto-créer et adopta la panoplie
Terredala.
En quête d'aventure, il partit vers l'est ... Il s'en
fallu de peu. Il arriva au cimetière et vit des monstre qui avait l'air
sympathique et les attaqua...
Effet de surprise rater, il se
retrouva avec 4 chafers d'élite autour de lui. Ils étaient grands,
squelettiques, avec de longues capes rouges et un casque en fer.


2 jours après, 15H33, maison d'un parfait inconnu.
Blue-tueur se réveilla, et regarda autour de lui.
Tapisserie
jaune, meuble en bois de chêne, nombreux trophées dans les vitrines.
Les trophées en or l'impressionna mais il ne remarqua pas l'homme assit
sur un fauteuil rembourré.
-Bien dormi? questionna t-il
Il était grand, une coiffure un peu bizarre et dégageait une puissance que blue-tueur n'avait jamais vu.
Blue-tueur posa une question prévisible :
-Où suis-je?
-Tu es chez moi depuis 2 jours.
L'homme
avait une voix grave mais rassurante et on pouvait lui remarquer un tic
qui est de tout le temps vérifier que ses trophées sont bien en place.
Et Blue-tueur continua dans les questions d'une rare originalité :
-Que m'est-il arrivé... je me souviens avoir été encerclé par des squelettes mais... c'est tout.
En effet, il se souvenait de ces êtres putride qui n'avait pas l'air gentil.
-Je vois, dit l'homme, tu es le fameux blue-tueur, justicier du dimanche.
-D'où je viens, le monde me respecte.
Il
était étonné que l'on parle de lui à l'autre bout du pays... Imaginez,
vous êtes un écaflip qui défend les astrubiens possédant un dofawa et
quelques sacs de blés et on parle de vous à l'autre bout du monde des
douzes... C'est quand même ahurissant.
-A Astrub, c'est normal, mais
à Bonta il ne faut pas croire que tu es fort. Ici il existe des gens
qui peuvent faire de toi ce que tu fais des bandits.
L'écaflip fut étonné, lui qui croyait être très puissant...
-Mais... Comment suis-je arrivé ici?
-Je me baladais dans le cimetière quand je t'ai vu affalé sur le sol en train de te faire dépouiller par ces satanés chafers...
-Chafers?
Il
avait entendu parler d'une grotte à astrub contenant des chafers et
quenombres des aventuriers avait périt au combat... ça explique tout,
en plus ceci devait être plus fort.
-Les chafers sont puissant pour des gens de ton niveau, surtout les chafers d'élite, ceux qui était en face de toi.
-Je vois... alors je vous dois la vie?
-Non, j'ai fait ça part solidarité.
Ils
se mirent à rirent et firent plus ample connaissance. L'homme se
nommait Dopiion, iop de cercle de puissance 170. Il avait un frère,
Dopinou, enutrof cercle de puissance 150. Vu que blue-tueur manquait
d'expérience, il accepta de l'aider.


2 mois après, et après un maitre corbac bien étripé, péninsule des corbacs, blue-tueur cercle de puissance 92.
Après avoir aider à égorgé un maitre corbac, Dopiion et blue-tueur discutèrent sérieusement.
-Tu es maintenant bien plus expérimenté qu'à notre rencontre, ça t'intéresserais de rejoindre une guilde? questionna Dopiion.
-Une guilde?
Il connaissait le mot guilde de nom mais n'a jamais vraiment su se que ça voulait dire...
-Un rassemblement d'aventurier fondé sur l'amitié, expliqua t-il.
-Je trouve ça intéressant!
-J'envoie un tofu à mon meneur on va attendre.
Il prit une plume et écrivit d'une écriture fine :

Cher Raph,

Il y a déjà longtemps que j'entraine l'écaflip que j'ai sauvé (blue-tueur)
Il est maintenant très expérimenté et je pense qu'il pourrait nous rejoindre au sein de "La veuve noir"
J'attends ta réponse.
Dopiion.

Le
tofu s'envola, le vol gracieux (ou presque) et s'écrasa sur le premier
arbre mais sachant où aller il reprit son chemin. En attendant son
retour, les deux guerriers reprirent les différents entrainements à
l'épée : les feintes, les contres-attaques, les défense ou défonce...
Une heure plus tard le même tofu revint avec le même vole quasi
gracieux. Dopiion déroula le parchemin et une encre noire de jais
écrivait :

Cher Dop,

Tu m'avais déjà parlé de cet écaflip et je pense qu'en effet il pourrait nous rejoindre.
Explique-lui clairement les règles bien sûr...
Et recrute-le
Raphaledemoliseur

-Les règles? demanda blue-tueur.
-Il
y a trois règles à respecter : ne pas embêter le meneur, rester poli,
et aimer l'aventure! Il expliqua aussi les bonnes ambiance de la
guilde, toute les sorties pour aller combattre des monstres qu'il
n'avait jamais entendu parler, bref, une bonne guilde.

Et c'est
ainsi que blue-tueur rejoint "La veuve noir", guilde moyennement
puissante mais sachant se débrouiller quand on touche à un poil de la
crinière de leur percepteur.


Tout était tranquille, il
menait une vie de guilde mouvementé. Il découvrit de nouveaux monstres,
de nouveaux donjons. Les jours passait, comme ses cercles de
puissances. Et il atteint rapidement le cercle de puissance 100 puis
105 et 113.
Il faisait beaucoup de combat avec son meneur, c'était
un xelor de petite taille mais de grande puissance. Il portait un
équipement très complexe et indescriptible. Mais en tout cas, ses
allures "faut pas me chercher" montrait bien qu'il fallait pas
l'attaquer sans raison apparente.

3 ou 4 mois plus tard...
Clairière sombre dans les Landes de Sidimote,
Quatre démon attaque en lâche,
le fier et le puissant raphaledemoliseur,
Ce dernier se défend bien,
mais en quatre contre 1,
il combat en vain.
Arrivant à se défendre,
mais pas assez bien,
le démon malsain pourfend,
le cœur de ce triste défunts.

Suant,
blue-tueur se réveilla. Ouf, ce n'était qu'un rêve. Un rêve plutôt
engrange qui plus est... rêver de la mort de son meneur... plutôt
horrible. On tapa à la porte. C'était Dopiion. Il s'était arrangé pour
que son meneur lui prête une maison, il ne pouvait plus vivre dans sa
cachette. C'était une maison près de la tour des ordres de bonta. Une
maison blanche avec un jolie toit et les mures ornés de petites
arabesques.
-Blue dit moi tu aurais vu Raph il n'y a pas longtemps?
-Non pourquoi? questionna blue-tueur
-On ne la pas revu depuis qu'il est allé chercher des viscère de scorbute.

Le cœur de blue-tueur se serra dans sa poitrine. Il raconta son rêve... le paysage sombre... les adversaire lâches...
-Bon, espérons que ton rêve n'était pas une vision...dit-il, l'air inquiet.


D'une
démarche funeste, nos deux aventuriers avancèrent dans les Landes de
Sidimotes, craignant à chaque instants de découvrir le corps sans vie
de leur meneur... Ils avancèrent à travers les oliviolet violet et les
cadavres de scorbutes, d'ouginak et de xelor...
-RAPH!!!
Blue-tueur
courra vers le cadavre inerte de raphaledemoliseur. Dopiion ne bougeait
plus, pétrifié. Il regardait la grande haie devant lui.
Deux grands yeux rouges sang apparurent.
-BLUE, COURS !!!
Blue-tueur ne comprit pas tout de suite mais d'instinct, recula d'un pas.
Son instinct lui avait sauvé la vie. En effet à sa place il y avait une énorme épée planté sur le sol... et une main au bout.
-Blue-tueur, le justicier... Te souviens-tu de moi?
-Deleïsh, le chef des bandits. Je ne t'avais pas transpercé la tête ?
-Mais tu ne m'as pas tué, et pendant tout ce temps, je m'entraînais sans relâche pour enfin me venger.
Il avait le même costume sombre et presque la même épée... à la différence que celle-ci était coupée en deux.
-Pourquoi raph? questionna blue-tueur, fondant en larme. Il ne t'a rien fait...
-Je voulais te faire souffrir avant de te tuer.
Dopiion ne comprit pas sur l'instant et prit son épée, bien serrée dans sa main.
-Que lui veux-tu? demanda Dopiion
Il avait une voix pleine d'espérance mais Deleïsh mourut de rire.
-Juste le tuer mais j'ai bien envie de te tuer avant.
Blue-tueur prit son épée et lui assena un coup dans la tête. Mais il tapa dans le vide. Deleïsh s'était téléporté. Le fourbe.
-Je me laisserai pas avoir deux fois, petit vaurien car...
Il
n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'une lame lui traversa le
coeur, c'était Dopiion. Deleïsh disparut, mais pas son épée... dernier
geste instinctif : décapiter Dopiion.
Un homme arriva, il observait la scène.
-Triste paysage...murmura t-il
Puis il avança vers blue-tueur.
-Tué...il les a tué...sanglota ce dernier.
L'homme
n'eut pas beaucoup de mal à comprendre ce qui c'était passé : "c'est un
acte de vengeance pur et simple..."pensa t-il "il y en aura surement un
autre" rajouta t-il en voyant les yeux imprégné de haine de l'écaflip.
Blue-tueur remarqua l'homme en train d'observer le carnage.
-Qui êtes-vous? demanda t-il...
Ses questions manquent toujours d'un peu d'originalité.
-Je suis un Selenyte à la recherche de nouvelle aventure...
-Un quoi? questionna blue
*Quand est-ce que ses questions seront enfin originales*
-Un Selenyte. Ce sont des mercenaires : On nous engage pour aider à combattre, à tuer, à entrainer par exemple (j'en passe)
L'homme en question était habillé d'un vêtement marron clair et d'un chapeau assortit.
L'homme lui apprit alors les bases : les règles, le fonctionnement...
Ils discutèrent comme ça un bon bout de temps, blue-tueur encore les larmes au yeux.

Il ne savait pas comment oublier... Toute ces scènes horrible... Peut être que sa carrière de justicier devrait terminer...

En tout cas, il deviendra Selenyte, pour aider les autres à savoir se défendre, et non à les protéger.
Il deviendra Selenyte, c'est un certitude.

Après avoir poster ce parchemin, je retournai chez lui, fier de ce que j'avais écrit. Je trouvais ça superbe, mais est ce que les Selenytes seraient du même avis ? Ça, je le saurais plus tard, mais en attendant, il était tard, j'avais sommeil, je devais dormir. Ce fut une nuit agitée, j'étais angoissé, est ce que cette fois ma candidature serait suffisante ? Le lendemain, c'était un jour de repos, enfin normalement.
Ma journée n'allait pas être de tout repos. Bon, déjà, un réveil assez
tard me permis de partir du bon pied, et après étirement, entrainement, échauffement, je partis vers la maison des Selenytes.
J'avais une réponse. j'avais obtenu une urne, et avait déjà une voie positive. Cette journée commençait bien pour moi. Je décidai donc de reprendre la lecture de mon livre... étrange. Quelques heures plus tard je reçu une lettre. De mon maitre, disant qu'il était parti en expédition avec d'autres aventuriers sur l'ile d'Otomaï et que j'avais une semaine de repos. Et cette semaine s'écoula lentement. Je vis les voie positive s'entasser dans l'urne, j'en avais déjà quatre, et la lecture de mon livre avançait à une vitesse fulgurante. je connaissais beaucoup de secret déjà, je pouvais créer des choses simple, et je commençait à arriver à lire dans les pensées. Seulement je ne comprenais que les pensées des Iops, des pensées assez
simple
qui tournait tout le temps autour de "tuer". Dans la semaine, je
découvris aussi que mon livre était vivant. Je l'ai remarqué quand j'avais entendu une voie, et que il n'y avait personne dans la grotte où j'étais. L'ouverture de mon esprit permettant de lire dans les pensées avait permis au livre de me parler. Il me parlait de son passer, que ses autres possesseur étaient mort étrangement. Si il voulait me dissuader, ba c'était raté...
Vers la fin de la semaine, le soir, je suis allé comme à mon habitude voir les nouvelles pour ma candidature. Un message était ajouté, celui ci disait :

Citation :

Suite
à la décision prise aujourd'hui baissant le nombre de voix nécessaires
pour accéder à l'entretien tu y accèdes toi-même, je t'invite à nous
donner tes horaires de disponibilité.

Là j'étais heureux, si bien que quelque semaine plus tard, j'ai passé mon entretien... Et la suite, vous la connaissez.


Dernière édition par Kelenbi le 9/19/2011, 16:57, édité 1 fois
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Disciple de: Ecaflip
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MessageSujet: Re: Mais qui est blue ?   Mais qui est blue ? Icon_minitime4/4/2010, 16:40

je vous prie de, pas comme certains, pas remettre en cause mon orthographe déplorable !
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