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Atelier des Bijoutiers d’Astrub [5,-16]
Selenytes et aventuriers de tous horizons étaient là, tous prêts à défendre l’atelier des bijoutiers contre un certain « Arsaine Nipul » qui avait envoyé un avis de cambriolage quelques jours plutôt à la demeure des mercenaires d’Astrub.
Plus qu’une minute et il arriverait… Ça est, l’aiguille du cadran de la demeure des horloges a fait son trentième tour pour la vingtième fois de la journée, il est en retard..
Quelques secondes plus tard un cor bac vole et jette un parchemin que Maures le récupéra pour le lire d’abord aux Selenytes et ensuite à toute la populace..
.. Arsaine s’excusait il aurait du retard « pour nous laisser le temps de préparer notre défense » disait-il..
L’impatience commençait à se faire ressentir, la vingt et unième heure allait bientôt sonner lorsque tout se figea, plus personne ne pouvait bouger ni communiquer, tout le monde paniquait intérieurement mais personne ne pouvait exprimer ce sentiment.
Ce calvaire dura une trentaine de minutes.
Il se termina enfin .. Sans qu’Arsaine vienne se présenter à nous. Plusieurs aventuriers crièrent à la sorcellerie, qu’il avait volé le diamant pendant que le temps se bloquait mais le diamant était toujours avec la bijoutière.
La vingt deuxième heure allait arriver, toujours sans aucune vue d’Arsaine, les Selenytes organisèrent un petit défi pour faire patienter mais celui-ci ne dura pas longtemps.. Quelqu’un venait d’arriver.
C’était un disciple de Feca habillé de noir et de blanc, de la cape et de la coiffe du parrain.
Il regarda l’atelier puis la populace qui n’osait respirer. Il se présenta comme étant Arsaine Nipul puis se montra d’une arrogance qui prouvait son assurance, la troupe de personnes placée devant l’atelier ne lui faisait pas peur !
Les Selenytes tentèrent de le raisonner mais se fut peine perdue.
Il attaqua Maures qui fut très vite rejointe par sept aventuriers sortant tous leurs armes.
Il était toujours sur de lui, mais il ne put faire que ses armures, tué par plusieurs coups de dagues.
Son corps disparut sans pouvoir le regarder de plus près.
L’attroupement se méfiait.. Avec raison car à l’intérieur de l’atelier on entendit une vitre se casser.
Tout le monde rentra précipitamment pour voir la bijoutière, Or-Phevre aux prises avec un Feca rangeant discrètement quelque chose dans une petite bourse..
En voyant tout ce monde entrer dans son atelier Or-Phevre cria « Il a mon diamant, moon diamant » dans ses pleurs.
Le Feca regarda l’attroupement qui sortait dagues, haches, bâtons, épées et autres armes tranchantes, s’inclina et disparut.
Encore une fois la panique fut ressentie par tout le monde lorsqu’à nouveau le même cor bac arriva et jeta au vol un parchemin réceptionné par Gallia.
Ce message était une aide, il serait à la Place de la Fontaine d’Amakna avec le diamant mais ça paraissait encore une fois trop simple.
A la fin de la lecture Selenytes et aventuriers promirent à la bijoutière de lui ramener la Larme d’Aguabrial, le diamant et partirent se retrouver au lieu indiqué dans le parchemin.
Quelques minutes plus tard tout le monde était au rendez-vous mais pas d’Arsaine.. Un aventurier se rappela qu’il y avait un trou qui menait à une grotte dessous une charrue et d’un cri emmena tout le monde dans celle-ci.
Dans la grotte une chandelle était faiblement allumée, éclairant de sa flamme virevoltante un vieux livre que Maures décida d’ouvrir pour y voir un énième indice..
D’un commun accord entre les Selenytes Maures expliqua aux aventuriers qu’ils allaient organiser une battue. Mais avant il faut rejoindre la rivière.
Ils arrivèrent près du morceau de la rivière Kawaii passant près de la banque, au pont menant au château d’Amakna pour organiser la battue.
Un tofu arriva et donna un message à Maures « Un milicien va arriver pour vous seconder dans la traque du bandit « Arsaine Nipul » veuillez l’attendre près de la banque. Cap’taine Bèliqueu. » .
Quelques minutes plus tard le milicien arriva, il se nommait « La gaff e » ce qui fit rire.
La troupe fut unanime, le milicien la guiderait pour être plus efficace ce qui parut pas spécialement plaire au nouvel arrivant.